Le Circuit du Mans
Comme vous pouvez l’imaginer, le circuit du Mans a évolué depuis 1923
Tracé
Années
Les modifications
Distance
Meilleure moyenne
1923 - 1928
C’est le circuit du départ. Il a été raccourci par rapport au circuit du grand prix de France. Il va jusqu’à Pontlieu, soit l’actuelle rocade.
17,262 Km
111,219 Km/h
1929-1931
La pointe de Pontlieu est tronquée
16,340 Km
125,735 Km/h
1932-1955
La pointe de Pontlieu est supprimée, des terres ont été achetées entre maison blanche et le tertre rouge au sud du tracé original pour “arrondir” le tracé.
13,492 Km
172,308 Km/h
1956-1967
Refonte complète de la zone des stands, modification de la courbe Dunlop. Le panneautage a lieu dans la partie la plus lente du circuit à la sortie du virage de Mulsanne.
13,461 Km
218,038 Km/h
1968-1971
Création du virage Ford entre Maison blanche et les stands pour ralentir les voiture dans cette deuxième partie.
13,469 Km
222,304 Km/h
1972-1978
De grosses modifications entre Arnage et les stands : modification du tracé à Maison Blanche et création des virages Porsche entre Maison Blanche et les chicanes Ford.
13,640 Km
210,188 Km/h
1979-1985
13,626 Km
212,021 Km/h
1986
Modification du virage de Mulsanne (au bout de la ligne droite des Hunaudières) due à la création d’un rond point par la DDE.
13,535 Km
207,197 Km/h
1987-1989
13,535 Km
221,665 Km/h
1990-1996
Mise en place des deux chicanes dans la ligne droite des Hunaudières. Modification de la ligne droite des stands avec création d’un mur et retour d’espace sécurisé pour le panneautage.
13,600 Km
213,358 Km/h
1997-2001
Modification du ralentisseur Dunlop (plus 5 m), puis diminution de la bosse de Mulsanne (hiver 2000 / 2001)
13,605 Km
208,666 Km/h
2002- 2005
13,650 Km
215,415 Km/h
2006
Grosse modification du village et de la courbe Dunlop, sans modification de la longueur du circuit.
13,650 Km
215,409 Km/h
2007-2017
13,650 Km
225,228 Km/h
2018
13,626 km
220,148 Km/h
Ça fait beaucoup de chiffres, mais cela prouve que le circuit est en permanente évolution et bien vivant.
Voilà, voilà …
Lionel.